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Tombées de Christian Hubin

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27072023

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Extraits



La chute commence. L’expulsion commence. L’évaporation et la suspension, l’écho dans le précipité, la dilatation d’âge en âge, - dans l’air et non, ici et non – dans le dissous où monte la chute, - se réverbère sans qu’elle commence, disparaît où commence.
 
Où qu’est-ce qu’on sait seul, croit savoir – qu’on ne veut pas fixer longtemps ? Qu’est-ce qui attend qu’on ose, qui voudrait tant s’approcher ? Qui reprend quand on s’interrompt, qui sait que personne ne parle.
 
*
 
Une dissemblance déjà rencontrée. Les seins qui se dénudent, le son coupé. On sent qu’on a repris la place, la position penchée contre la table. Pressentant par la baie les points, les arrêts, l’incorporel par quoi on s’insère presque, retrouve le son quand une seconde, où morve au nez, quittant ses traits, - dans le retour sans écharpe, de plus en plus petit, fidèle – fixant dans la dissemblance, dans l’oppression rapprochée.
Seawulf
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